Bonne et mauvaise nouvelle [Horatio]

Un mercredi soir. Une soirée ennuagé, où la lune éclarait si fort que l'on pouvait malgré les nombreux nuage le voir au travers. Il avait plu dû à la chaleur qu'il y avait eu durant la journée. Un record de chaleur les météorologue avaient dit. Maintenant il faisait frais, avec un léger brouillard qui se levait dans tout Miami. Le sol, encore mouillé, était glissant, autant sur les chemin terreux que sur les chemins d'asphaltes. Peu de gens étaient dehors, ce qui rendait l'ambiance quelques peu stressant et tendu pour les gens qui se devait de sortir pendant un certain temps dehors. Il ventait que peu, laissant que quelques feuilles virevolter dans les airs, des feuilles mortes, étant donné que nous étions qu'au début du printemps.

Cette soirée là n'allait pourtant pas être de tout repos. Un groupe d'homme, cinq pour être plus précis, tous tatoué avec le même insigne sur le bras ou l'épaule, s'apprêtait à commettre un acte criminel grave. L'homme qu'ils visaient, devait payer de son geste. Mais d'abord, il devait recevoir cet avertissement : ne plus jamais leur jouer dans le dos et leur mentir sur sa mort. Ces salaud d'agent secret était capable de disparaitre pour des années, mais ne peuvent pas échapper aux coincidences. Ils marchaient tranquillement, comme si de rien n'était, sur le terrain d'un des collègues de ce cher agent. Un ami proche d'ailleurs à ce qu'ils ont pu remarquer depuis quelques jours... le voyant toujours en sa compagnie le soir, après le boulot. D'ailleurs, l'agent travaille maintenant à la brigade criminel. C'est loupé pour ce coup là... il est trop entouré pour l'approcher de suite, même chez lui...

Un des hommes cognait doucement à la porte. Il devait être... huit heures du soir. Il était donc sans aucuns doutes réveillés ou sinon, ils le réveilleront à leur manière. Mais ils n'eurent pas besoin de faire recours à leur plan B, car ils entendirent rapidement le verrous de la porte faire de petits cliquetis. Chacun portait leur main à leur Hostler, où se trouvait un neuf milimètres qui attendait patiement qu'on le sorte de sa prison de cuire. La porte s'ouvrit doucement sur une petite fille agé d'à peine 7 ans, en pyjama, les cheveux encore mouillé s'apprêtant sans doutes à aller au lit. Grave erreur de la part de ses parents. Le chef de la bande leva son revolver entre les deux yeux de la petite et y tira deux balles, la tuant sur le coup sans avoir eu le temps de crier ou de dire le moindre mot. Le sang avait giclé, il y en avait dans toute l'entrée. Pendant que le petit corps inerte au sol se vidait de son sang sur le tapis du couloir, les parents furent alerté par la détonation. Ce n'est qu'en voyant la bande qu'ils paniquèrent et un carnage soudain s'empara du silence de la demeure.

Le lendemain, Raymond, qui commencait à peine dans le monde du labo de la criminelle était arrivé sur les lieux le premier, ayant reçus l'appel urgent de son collègue dans les services secrets et aussi du central. Arrivé, il pu constater l'empleur du carnage. La petite fille dans l'entrée, avait que la moitié de la tête toujours en place, l'autre moitié étant plus loin dans le couloir, sans doute en raison de la force du tire. Il pouvait voir son cerveau qui baignait dans une flaque quelques peu sèche, mais pas totalement coagulé. Il la contourna et entra un peu plus loin dans la maison. Il y trouva une longue trainé de sang, mais fut alerté d'abord par le corps de la femme, pendu au lampadaire du plafond, une balle dans le coeur et un bras menquant. La femme avait dû souffrir pensait l'ex-agent. Il suivit alors la trainé qui menait au garage. Entrant tout en faisant attention pour ne pas piler sur le sang, il descendit une série d'escalier. Il faisait trop noir pour voir quoi que ce soit et se guidait par sa lampe de poche. Il n'y avait plus de voiture, sans doute volé. La trainé menait jusqu'au mur du fond. Il y pointa la lumière et y découvrit un message avec une flèche, en sang. Un peu vers la droite, le corp de Jerry, son collègue et ami, torturé, pendu, avec une balle entre les deux yeux à un mètre du sol environs. Il commencait à avoir hâte de voir Horatio, car le message lui faisait la chair de poule. C'étais clair qu'il était visé !

Il décrocha la téléphone. Il avait beau avoir hâte, il devait avertir Horatio d'abord. Il composa son numéros de portable. Il était trois heure du matin et il allait surement le réveiller...

-Horatio, c'est Ray. On a un homicide chez Jerry Mohan, je t'envoie les coordonné, je suis déjà sur place.

Il lui donna l'adresse et raccrocha.

Lorsqu'il vit le hummer de son frère par la fenetre de la maison, il en sortit pour aller le rejoindre, son calepin en main, ayant prit de nombreuses notes des lieux et des témoins qui avaient entendu les coups de feu... Et aussi le mystérieux message dans le garage.

-Salut Horatio. Alors voilà la maison de Jerry, un de mes collègues dans les services secrets. Il a été assassiné hier, lui, sa femme et sa petite fille de 4 ou 5 ans.

Il était nerveux, il déboulait les informations d'un coup sans prendre son temps.

-C'est les témoins là bas, ses voisins qui ont appellés aux urgences. Ils ont entendu des coups de feux et sont venu jeter un oeil. En sortant ils ont apperçus 5 hommes musclés sortir et se sauver dans le bois de l'autre coté de la rue. Ils ont pas vu leur visage, il faisait trop noir. Ils ont vu le corps de la petite dans l'entrée et sont rentré pour appeller les secours. Ils se sont pas aventurés plus loin. Au fait, désolé de t'avoir réveillé.

Il regarda son frère.

-Il y a autre chose...

Horatio descendit donc de son véhicule et son frère vint à sa rencontre pour lui expliquer la situation. Il l'écouta donc. Un couple et leur petite fille de 4-5 ans ... il faut vraiment être fou pour faire cela, surtout a une gamine qui avais toute sa vie devant elle. L'homme était donc l'un des collègues des services secret de Raymond ... et bien.

Aucun problème, fit Horatio quand son frère s'excusa de l'avoir réveillé

Que se passe-t-il ? demanda-t-il plus que intrigué, il connaissait bien l'air que venait de prendre son frangin et savait que cela n'était pas très bon signe

-On a trouvé le corps de mon collègue dans le garage. Les tueurs ont prit le bras de sa femme pour écrire un message sur le mur.... m'étant destiné...

Il déglutit.

-C'est une menace Horatio...

Ils entrèrent dans la maison pour se rendre au garage, ou la lumière avait été allumé. Il pointa le message fait avec le sang de Jerry et le bras qui trainait dans la flaque sous le corps.

-Je suis sur maintenant que la Malanoche est la dedans...

Il baissa la tete.

-J'ai reçus l'appelle de Mike... mon anciens patron... il veut me remettre sur une mission... il me dit que c'est pour me protéger... mais je suis pas convaincu...

Horatio put lire le messagequi n'était pas très sympatique en effet, c'était un bien grande menace de mort que la Mala-Noche a l'habitude de faire. Puis il regarda autour, ce fut un meutre assez sanglant et donc pas très très beau à voir

C'est même certains, c'est leurs signature ... en conclut H.

On t'as proposé une nouvelle mission, plutôt pour te jeter dans la gueule du loup selon toi ?

-Il ne m'a pas donné de détails... tout ce qu'il ma dit c'est qu'on pourrait remettre en oeuvre une nouvelle léthargie. Mais la Malanoche n'est pas dupe et ça, moi, je le sais que trop bien...

Il fit un petit sourir.

-Et puis... se réveiller d'une léthargie c'est pas top non plus... tu es paralysé pour au moin quelques jours le temps que tes membres reprennent leur fonctions habituels... Je veux pas non plus etre un boulet pour Yélina et Junior. Déjà que je viens à peine de recommencer à travailler... et puis, je vous avais promis de ne plus faire de missions... Mais c'est tentant, parce que je ne voudrais pas qu'ils s'en prennent à ma famille....

Tu serais pret à le refaire ? demanda-t-il seulement

-Oui ! Et je ne compte pas disparaitre pendant des années par contre... on se retrouverait à la morgue... normalement je parviendrais à me réveiller là, mais il faut pas que la légiste oubli de retirer l'aiguille qui va me mettre en léthargie bien sur...

-Écoute, Mike veut m'avoir dans pas longtemps... la léthargie, ça serait aujourd'hui et puis il veut que l'on découvre pourquoi ils ont tué Jerry meme si tu sais autant que moi que c'était un avertissement... surtout avec le message qu'ils ont laissé...

Alala les Caines, une fois qu'il sont déterminé impossible de leurs faire comprendre d'autre chose, de vrai tête de mule par moment. Et Horatio savait très bien qu'il ne pourra pas faire grand chose face à son frère en ce moment même

Oui, tu as raison ...

-Je vais avoir peut-etre de besoin de toi pour le plan... la mise en scène prend beaucoup de préparation et pour faire la léthargie quelqu'un qui sais bien viser...

Il marqua une pause.

-Viendrais-tu m'aider dans cette mission ?

-Je te donne ma parole Horatio...

Parole d'un agent secret oui... Il regarda sa montre.

-Eum... excuse-moi... Je... Je reviens dans quelques secondes...

Il se dépêcha de sortir de la maison et alla rejoindre un homme qui n'appartenait pas à la sécurité à côté de la maison.

-Tu l'as ?

''Oui, c'est de la bonne qualité. T'en trouvera pas de meilleur dans le coin mon cher ami.''

-Combien ?

''C'est 550$ et encore tu es chanceux que je te le vendes à ce prix ! C'est le double chez les autres dealers...''

Il donna donc la sommes à l'homme, prit le petit sachet et le fourra dans sa poche de veston.

-Dégage avant qu'un flic te vois !

''Je te vois la semaine prochaine !''

L'homme disparut.

Il regarda autour de lui comme pour s'assurer qu'on ne l'avait pas vu. Puis ile retourna tranquillement à l'intérieur, dans le garage. Il regarda Horatio et fit un petit sourir.

-Eumm... J'ai... rencontré un témoin près de la maison. Je n'ai pas eu rien de différent des autres dépositions... alors je l'ai laissé partir.

-Il ne voulait pas discuter avec un patrouilleur... il voulait parler avec un gars qui est dans l'enquete meme...

Il commencait à s'agiter un peut nerveux.

-Je faisais que mon travail...

Raymond regardait la main de son frère, puis croisa son regard.

-Quoi ?

-Mais je n'ai pas de drogue.... je n'en prend plus...

Il déglutit en regardant sa main.