Liberté et nouvelle relation ! [Don]

Collé l'un à l'autre, nous étions plus que bien. Ce sentiment d'un rapprochement plus amical se faisait ressentir non pas seulement par moi, mais par Don aussi. C'était une sensation qui était des plus agréables d'ailleurs. Au bout de quelques heures d'attentes, on entendit un cliquetis significatif : l'ascenceur s'était remit en marche. Les porte s'ouvrit sur l'équipe, inquiet, qui attendait devant l'engin, voulant savoir si on allait bien. Hawkes avait même prit le temps de nous apporter une bouteille d'eau. Mac nous donna une congé pour la journée, voulant nous ravoir reposé demain....

Alors que les autres membres de notre équipe partaient, Don m'a demandé si j'étais d'accord pour que l'on passe la soirée ensemble. Je n'ai pas pu m'en emp♪cher.

-Bien sûr ! Ce serait un grand plaisir !

Comprenant que j'avais dit ça tout haut, j'ai quelques peu rougit. Quoi qu'il en soit, j'étais heureuse qu'il me fasse cette demande, car j'avais de cette envie de rester auprès de lui depuis l'ascenceur.

-Je comprends.... Ce n'est pas grave, y'a rien de mieux que les escaliers pour garder la forme !

J'aimais bien tout changer en positif... J'ai commencé tranquillement à me rendre aux escaliers et à les descendres, le sourir aux lèvres.

-On va avoir des mollets d'aciers avec toutes ces marches !

-Ummm... tu sais, je crois que je vais te suivre dans les escaliers ! Comme ça si ont en rest prisonnier, on sera toujours ensemble !

Je lui faisait un sourir, nous rendant tranquillement au stationnement.

-Qui parle de claustrophobie ? Qui dit qu'il y aurait pas une araignée mutante dans les escaliers et que je ne serai pas obligé de me coller contre toi pour pas m'en approcher ?

Je lui faisait un sourir puis un petit rire. J'étais contente d'etre sortit de l'ascenceur. Nous étions presque rendu à la porte qui donnait au stationnement du laboratoire.

Je pourrais jouer les preux chevaliers devant les araignées mutantes, je ferai tout pour qu'elles ne te fassent pas du mal. Mais tu sais tu n'as pas besoin d'araignées mutantes pour te coller un peu plus à moi.

On était presque arrivé et les araignées mutantes ne nous ont pas encore attaquées.

-Ah mais tu ne vois pas ? Il y en a une juste là !

Je pointais du doigt un endroit vide. En fait c'était juste une excuse pour me coller à Don, ce que j'ai fait à la suite de ce que j'avais dit.

Je lui ai sourit et tranquillement, nous nous sommes engoufrés dans le stationnement. C'était plutot calme et silencieux. Une ambiance pesante y régnait et je n'aimais pas le présentiment que j'avais à ce moment là. Nous nous sommes avancés davantage et j'ai entendu la porte se fermer derrière nous. J'ai eu un léger sursaut parce que je ne me sentais plus trop à l'aise. J'ai pu confirmer que quelque chose n'allait pas lorsque j'ai entendu quelque frapper quelqu'un d'autre, et ce quelqu'un d'autre était Don. Je l'ai apperçus tomber sur le sol, inconscient et ensuite... on m'a attrapé par derrière et on ma mit un mouchoir sous le nez... sans doute plein de chlorofile. Je me suis endormi et ils m'ont emmené... je n'ai pas eu l'occasion de me débattre ou d'appeller de l'aide.

Je me suis réveillée dans un drole d'endroit. En fait, je me trouvais dans une chambre, donc forcément encore dans New York, puisque d ela fenetre je pouvais voir les buildings. Il n'y avait pas de bureau, ni de lit. Juste une paillasse sur le sol ou j'étais couchée. J'avais une salle migraine et je ne savais pas exactement ou j'étais. Je me demandais si Don alait bien... Je regardais dehors : pourvu qu'il vienne me chercher rapidement... j'aimais pas l'endroit...

Au bout d'un moment, j'ai cru entendre des pas derrière la porte. Quelqu'un s'appretait à entrer. Je me suis levée, dans le but de me protéger au cas ou il déciderait de faire quelque chose de pas pacifique, mais j'avais trop le vertige et je suis resté assis par terre, regardant la porte qui s'ouvrait. Lorsque j;ai croisé le regard de l'homme, j'ai lu en lui le meme désir que Frankie la journée de mon aggression. J'allais passer un sacré moment j'en ai la forte impression.

Cet homme s'avacait dangereusement vers moi et j'ai comme l'impression que ce n'était pas pour faire connaissance à la manière traditionnelle de la main qu'on serre. Il était silencieux et quand à moi, je préférais pour le moment ne rien dire, analysant la situation. Il avait fermé la porte derrière lui, donc impossible de lui échapper...

"Alors ? Tu es drolement mignionne pour trainer avec ce flic !"

J'ai froncé les sourcils. Connaissait-il Don ? Peut-etre. Ce serait alors la raison de mon enlèvement. Et s'il resentait une pointe de jalousie ? Peut-etre voulait-il priver Don du bonheur ? Ou peut-etre l'avait-il déjà fait et voulait-il recommencer ??

-Et je suis trop mignonne pour trainer avec un gars comme vous ! Laissez-moi m'en aller !

Je voulais lui faire comprendre que je refusais de faire ses petits caprices. Mais ces mots m'on fait mériter une baffe au visage et des coups de pied dans le bas-ventre. Ce gars là était pratiquement le sosie de Frankie. Je me tortillais de douleur par terre, les larmes aux yeux, ne sachant pas ce qui allait se passer ensuite...

Couchée, j'étais impuissante : il se toruvait maintenant sur moi et décidait de terminer ce qu'il voulait commencer. Il a alors commencé à me déshabiller en prenant le temps de s'arreter à chaques details... Je me sentais si mal que j'avais envie de vomir. Cet homme répugnant que je ne connaissais pas s'appretait à aller au dela de mon intimité sans trop de gene. C'était sans doute un violeur et batteur de femme. Lorsqu'il a passé à l'acte, j'ai tenté de me débattre, mais à ses moment là il me frappait durement et je retrouvait mon calme. Il s'est finallement enfuit... Je pleurais à cahudes larmes, je ne me retenais plus. J'avais le visage en sang, j'avais mal au bas-ventre et je me sentais si mal... Je ne bougeais plus, m'ayant recroquevillé sur moi-meme, tremblante et vulnérable. Je tentais de cacher mon intimité du mieux que je pouvais.... Aucun homme ne pourrait s'approcher de moi. J'étais maintenant devenu craintive de la gente masculine.

Je me suis brusquement reculé quand j'ai vu Don s'approcher. Non pas que j'étais pas contente de le voir, mais j'avais encore les images de cet hommes sur moi et c'est lui que j'imaginais plutot que Flack. Par contre... j'ai prit sa veste. Je tremblais comme une feuille et je commencais à avoir froid.

Je me suis mise à pleurer de plus belle. J'avais hâte que ce soit terminé...

-Don j'ai peur...

Je tremblais toujours autant. J'étais éffrayé, pourtant un coté de moi voulait prendre la main de Don, de la serrer et meme d'aller se blotir dans ses bras. Mais de l'autre, j'avais peur qu'on me fasse du mal. J'étais confuse.