Finallement ils m'ont rallongé sur la civière et mon attaché les jambes pour ne pas que je me débatte à nouveau. Don pouvait venir s'asseoir à coté de moi, à mon plus grand soulagement. Je lui serrais doucement la main quand le second ambulancier retentait de me faire une injection. Il réussi sans que je panique ou que je me débatte. J'étais tranquille, un ange aurait-on dit. Don avait raison : me sortir de cet endroit me faisait du bien et me permettait un peu d'oublier les mauvais moments, meme si il restait gravé comme ue cicatrice dans ma mémoire. L'ambulance avait démarré et nous étions déjà en route vers l'hopital...